Questionnement sur les concepts de « nature » et d’environnement en direction des jeunes

Esprit et logique de la démarche

Associer les jeunes à une objectivation de leurs représentations afin :

• De fournir des bases solides aux projets les concernant
• De leur permettre d’élargir, préciser et mieux partager ces perceptions ?

Ce questionnement n’est pas fait par des décideurs pour imposer une mesure mais par des formateurs pour partir d’une implication, du sujet lui-même, à partir de ce qu’il sait ou de ce qu’il croit savoir, de ce qu’il valorise ou rejette, plus ou moins consciemment.

Sans ce préalable de l’objectivation (des représentations cognitives ou affectives). Le projet de formation n’est pas sérieusement fondé.

Etude de cas

Le formateur voudrait que ses élèves connaissent mieux les paysages du Languedoc-Roussillon (soit mieux à même de les lire…)


Dans le premier cas (A) le formateur partira en aveugle dans sa tâche d’initiateur, sans « savoir » ce qu’ils « savent » et, surtout, ce à quoi ils attachent un certain intérêt, il préjugera et de leur niveau réel de connaissance et de celui de l’importance qu’ils ont pu accorder à tel ou tel élément du paysage.

C’est pourquoi il a tout intérêt à perdre un peu de temps pour le savoir et en tenir compte dans sa démarche pédagogique mais, aussi, (évaluation) pour savoir si l’élève à progressé, par la suite.

Enfin, il est toujours déterminant, de partir de concepts clairs, d’être assuré que chacun (maître et élève) met bien les mêmes réalités derrière les mêmes termes.

D’où la nécessité absolue de ne pas faire comme si ça allait de soi.
Ce questionnement répond à tous ces points et il vise, surtout, à lancer l’activité au niveau du sujet.

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